Pour les élèves qui se sentent mal dans le système scolaire traditionnel

Les familles qui choisissent le Cours du Pont de Pierre (CPP) sont à la recherche d’un accompagnement totalement individualisé pour leur enfant qui se sent mal dans le système scolaire ou qui est en voie de décrochage scolaire.

Elles ne trouvent pas dans le système scolaire traditionnel (écoles publiques ou sous-contrat d’association avec l’état), ni même dans les écoles privées qui ont des effectifs limités par classe, un système éducatif qu’elles estiment adapté à leur enfant.

Elles trouvent au CPP un lieu d’enseignement mêlant un niveau d’exigence élevé et beaucoup de douceur.

Décrochage scolaire, les sources les plus courantes

Précocité intellectuelle

L’approche individualisée du Cours du Pont de Pierre permet à l’enfant précoce de trouver un sens à ce qu’il fait, d’échanger, d’être écouté, et de travailler à son rythme.

Troubles Dys et TDAH

Nous construsions un écosystème autour des enfants dyslexiques, dysorthographiques, dyspraxiques, dyscalculiques, souffrant de TDAH (troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité)… pour favoriser leur apprentissage et contourner leurs difficultés.

 

Phobie scolaire ou sociale

Ne pas arriver à se lever le matin, être prêt à partir, sac au dos, et ne pas réussir à franchir la porte d’entrée de la maison, avoir le ventre noué, la peur du regard de l’autre, la peur de la note, du jugement…

DIFFICULTÉS SCOLAIRES

Notre établissement, de par la souplesse de son organisation, permet à l’adolescent en méfiance de se réapproprier sa scolarité, à son rythme, en valorisant ses envies, ses succès, ses progrès. Il acquiert des méthode de travail efficaces et est très encadré.

Harcèlement scolaire

 Avec un nombre très réduit d’enfant scolarisé et une présence en nombre d’enseignants, peu de choses peuvent échapper à notre vigilance, ce qui est nécessaire pour les élèves qui ont déjà connu un harcèlement, afin qu’il reprennent confiance.

Accidents de vie

L’équipe du Cours du Pont de Pierre est aguerrie pour prendre en compte ces spécificités, ces hauts et ces bas, pour écouter, rassurer et encourager pour s’y remettre.

Pourquoi choisir le Cours du Pont de Pierre ?

Les familles ont souvent fait un long cheminement personnel pour comprendre les limites du système actuel et l’avoir remis en cause. Leur réflexion sur l’éducation nous aide à faire évoluer notre approche pédagogique pour trouver l’approche la plus adaptée à chaque élève.

Choisir le Cours du Pont de Pierre, c’est vouloir adopter un écosystème pensant l’éducation sous toutes ses formes, sous tous ses angles. C’est parce que l’on accepte la complexité de la nature humaine, de l’ensemble d’un environnement que nous sommes en capacité de rebondir, de remettre en question nos choix, nos actions. Et ce, pour affiner notre accompagnement d’adolescents en [re]construction. 

Enfin, nous choisir, c’est embrasser une vision à long terme, en prenant le parti d’un rythme différent : celui du temps de chacun, poussé, accompagné au maximum de ce que nous pouvons tous – aussi bien élèves, précepteurs que parents – donner.

Au cours du Pont de Pierre, les enfants apprennent à travailler avec des méthodes efficaces, le goût de l’effort, le sens de l’effort. Avec ces cartes en main, la réussite de leurs études ne posera pas de problème, ni celle de leur vie future. En effet, la richesse de ces enfants est d’avoir su s’opposer à un système monolithique que peu arrivent à remettre en cause. C’est leur force. Il ne faut pas cependant rejeter toute forme d’apprentissage et d’exigence par la même occasion. S’ils se sont opposés, ils doivent tout de même se construire avec de la rigueur et de l’exigence, et nous les accompagnons en ce sens. Leur force est de se construire avec des bases solides sans se laisser formater par un système. Ils conservent ainsi leur libre arbitre et leur capacité à créer. Nous sommes convaincus qu’un bel avenir les attend, que la société française bénéficiera de ces graines d’entrepreneurs, à la fois libres dans leur tête, créatifs, rigoureux et exigeants.

Le parti-pris d’un accompagnement individualisé pour les élèves en décrochage scolaire

« Rien n’est plus tragique que de rencontrer un individu à bout de souffle, perdu dans le labyrinthe de la vie » disait Martin Luther King.

Qu’en est-il d’un inconnu assis à une table, ou tant d’autres se sont assis, s’assoient, s’assiéront, le regard perdu dans le vide de ses incompréhensions ? Un nom de famille écorché parmi des milliers, c’est ce que nous avons tous ressenti à un moment donné de notre scolarité et c’est ce qui peut plonger dans l’abîme nos enfants. Quel parent ne voudrait pas que ce petit être tant aimé, soit accompagné dans son unicité ?

Prendre en compte le vécu passé, le contexte présent, les ambitions futures, accueillir comme un secret la pudeur des mécompréhensions, déconstruire les croyances limitantes, comprendre sa voie d’apprentissage ; rien n’est plus intime et personnel que cet accompagnement-là.

Prendre le temps de s’asseoir aux côtés d’un élève le matin, lui demander comment il va, sincèrement, attendre une réponse authentique, rebondir dessus et aller de l’avant sur les apprentissages, en one to one, à partir de ces informations.

Une réponse adaptée au décrochage scolaire de votre enfant

Précocité intelLectuelle

La précocité est une notion intrigante. Au sens premier du terme, c’est le fait d’être en avance, de se développer plus tôt que la norme ne le prévoit. L’imaginaire que génère le terme c’est aussi celui d’une vivacité d’esprit, d’un potentiel intellectuel poussé. C’est alléchant d’imaginer son enfant « plus » que la moyenne, il lit avant les autres, sait compter avant les autres, a marché avant les autres. Il intellectualise aussi, avant les autres. Avant l’acceptation-même de ses émotions peut-être ? Car s’il est autant de formes de précocité que d’individus, les problématiques associées ont, elles, des traceurs communs.

L’hypersensibilité, un « trop grand cerveau » et « trop grand cœur » dans un si petit corps, pas encore mâture émotionnellement. Et de fait, un décalage avec le réel. Ce réel d’humanité si empli d’émotions. D’émotions qui ne font pas sens lorsqu’on ne parvient pas à les intellectualiser, à les rationaliser. Souvent, c’est là que pêche le système. Il pose une étiquette, « la précocité » avec laquelle est souvent associée de l’hyperactivité, une gestion de ses émotions chaotique et une concentration défaillante. Tout autant de cases qui génèrent des croyances limitatrices. Or, il n’existe pas de normalité. Le chemin de compréhension de chaque enfant est unique, personnel. C’est là toute sa richesse. Partant de là où en est l’enfant, nous l’accompagnons, lui détaillant les démarches de nos explications, le sens de ce que nous proposons, lui montrant les étapes à passer, les leviers à actionner pour atteindre le but qu’il s’est fixé.

L’approche individualisée du Cours du Pont de Pierre permet à l’enfant de trouver un sens à ce qu’il fait, d’échanger, d’être écouté, et de travailler à son rythme et de dérouler le projet pédagogique défini avec les parents.

troubles dys et TDAH

Si nous nous laissions portés par l’insolence de notre jeunesse, nous nous contenterions dans ce paragraphe de dire que le seul et unique trouble « dys » est l’empreinte « dysconfiancique » avec laquelle arrivent de nombreux élèves chez nous. Ayant dépassé l’âge de raison, nous nous accordons à dire que la reprise de confiance, dans un contexte favorable, tend à lisser certaines formes légères de « dys » et de TDAH.

Pour autant, il est une réalité : celle des dyslexiques, dysorthographiques, dyspraxiques, dyscalculiques, TDAH etc. Nous construisons (ou accueillons lorsqu’il est déjà en place) un écosystème autour de l’enfant pour favoriser son contexte d’apprentissage. Notre souplesse nous permet d’intégrer à nos journées des espace-temps dédiés, de penser et faire évoluer le matériel et la pédagogie nécessaires pour pallier les difficultés.

Phobie scolaire ou sociale

Ne pas arriver à se lever le matin, être prêt à partir, sac au dos, et ne pas réussir à franchir la porte d’entrée de la maison, avoir le ventre noué, la peur du regard de l’autre, la peur de la note, du jugement… Ce regard qui peut-être si jugeant et cet autre, si inconnu, si étranger qui peine à comprendre, qui peut parfois s’adonner à des injonctions limitantes, standardisées, vides de sens, insipides. Autant de ressentis qui, ô combien désemparant, empêchent la mise en action, cristallisent le rapport à l’autorité, assombrissent les relations familiales. La peur est sclérosante. La peur inhibe. Et n’importe quel traceur de l’école peut raviver cette peur (mobilier, tableau, odeur, atmosphère…).

C’est pourquoi nous avons pris le parti d’un espace qui s’articule autour d’une cuisine coeur, d’un lieu où rien ne rappelle l’école, le collège ou le lycée. Le mobilier a été choisi pour ne pas évoquer le passé. Un peu comme à la maison, on arrive à l’école, on se sent chez soi, on accroche ses affaires sur le porte-manteau et l’on va se servir un verre d’eau, un thé, prendre un biscuit dans la cuisine où un sourire bienveillant, un échange avec un précepteur nous attendent.

Nous avons également souhaité créer un lieu tout en transparence pour lever la lumière sur les zones d’ombre, pour qu’un regard rassurant puisse être croisé à tout moment.

Déscolarisation

On parle de déscolarisation, de rupture avec le système, de décrochage. Ces éléments de langage ont en commun l’idée que l’enfant concerné est inapte, non adaptable, non adapté.

Or, nous pensons que l’éducation est une porte aux milliers de serrures, il suffit d’en trouver au moins une clef. Il n’est pas un, ni deux, ni même mille parcours vers le retour ; il en est autant que d’enfants qui semblent s’être éloignés du chemin consensuel de l’académisme.

La déscolarisation semble être la perte de confiance dans un système supposé nous aider à grandir, à nous développer en conscience et en confiance. Notre établissement, de par la souplesse de son organisation permet à l’adolescent en méfiance de se réapproprier sa scolarisation, à son rythme, en valorisant ses envies, ses succès, ses progrès.

Accidents de vie

« J’ai décroché scolairement ». Trois mots que l’on n’entend que rarement et qui sont une réalité bien présente. C’était le cas de M, jeune fille de 17 ans, qui, après un drame familial s’est retrouvée seule, pupille de la nation, élevée par un tuteur. Cinq années durant, sa vie a été marquée par des tentatives diverses et variées de reprise de contact avec le système scolaire, de l’établissement public du quartier au CNED, en passant par des établissements privés, sans franc succès. Une histoire parmi d’autres, une envie phénoménale de s’en sortir, de se [re]construire et un besoin d’être rassurée, accueillie « dans son jus ».

Une histoire parmi d’autres, les difficultés d’un raccrochage mais l’envie et la motivation d’une revanche sur la vie sont les moteurs qui nous animent dans l’accompagnement de ces délaissés de la société.

L’équipe du Cours du Pont de Pierre est aguerrie pour prendre en compte ces spécificités, ces hauts et ces bas, pour écouter, rassurer et encourager pour s’y remettre.

Harcèlement scolaire

Anonymes dans le flux d’élèves qui passent le portail de leur établissement, sensibles, poreux au monde, certains enfants semblent être une force d’attraction pour qui aurait besoin d’une béquille afin de se sentir existant. De recoins en zones d’ombres, de messages corrosifs en exclusions, le repli sur soi semble apparaître l’unique solution. L’impression d’être responsable, de ne pas être assez « normal », assez « normé » pour appartenir au groupe, accable l’adolescent en prise avec ces situations.

Nous souhaitions, en créant cette école, instituer un espace de libre-parole, de libre-état où peu importe la différence, peu importe l’histoire, chacun est accueilli tel qu’il est, sans jugement. D’aucuns diraient « viens comme tu es » ou « on est tous les chelous de quelqu’un » comme symbole fort d’acceptation et d’appartenance !

Le Cours du Pont de Pierre répond à cette problématique par un enseignement individualisé, une approche différente pour chaque enfant, une prise en compte complète de l’enfant, dans sa spécificité. Avec un nombre très réduit d’enfant scolarisé et une présence en nombre d’enseignants, peu de choses peuvent échapper à notre vigilance.